Le jeune Tarin des pins n’a pas l’air bien portant
Il mange, il défèque, mais on dirait bien que quelque chose ne va pas.
Lorsque je gagne la galerie avant, il s’approche de moi. Je préviens le chat que c’est un ami, tout en posant ma main sur lui et en lui répétant et répétant la phrase.
Je demande à l’oiseau ce qui ne va pas. Je lui dis qu’il est, pile, dans un milieu pour se rebâtir, qu’il n’est pas seul. Et que l’endroit en est un de paix. J’évoque que je donnais à mes canaris ce qu’on appelait de la « Révélation » à base de jaune d’œuf, ce qui les remettait en forme.
Mais je me sens quand même bien impuissant. Je n’aime pas ça.
On voit tout de suite dans les yeux d’un oiseau s’il a un malaise quelconque.
La dernière photographie est celle du Tarin des pins adulte et bien portant.