J’ai chez moi les deux sortes de bardane, la petite et la grande. Marie-Victorin (Flore laurentienne) ne mentionne pas ce nom vernaculaire. Le groupe Fleurbec, lui, (Plantes sauvages des villes et des champs), affirme que c’est un des nombreux noms vernaculaires de la Grande Bardane. Des gens de la région de Montréal et de la Montérégie m’ont dit qu’ils appellent « croquia », la bardane, qu’elle soit petite ou grande.
Mais cette plante-ci, chez moi, est plus fine que la bardane, petite ou grande, elle ne devient pas plus costaude avec le temps, mais elle est aussi embarrassante. Une amie, botaniste amateure, n’a pas pu y mettre un nom.
Par bonheur, mon chat, qui se promène passablement sur mon grand terrain de quelques arpents, ne frôle pas cette plante, sauf exception, où parfois il arrive à l’enlever de son pelage avec ses dents, parfois je l’aide moi-même.
Chose certaine, nous brûlons, nous brûlons. Merci infiniment.
Je vais voir, je ne suis pas certain. Mais, en fleur, le contraste est marquant entre ce qu’elle est à ce moment-là, pas du tout « accrocheuse », et ce qu’elle va devenir par la suite. Pour les deux variétés de bardane, on voit à l’avance ce qu’elles vont devenir, comme pour le chardon. Je vais fouiller dans mon bagage d’images,
Cher Serge, malheureusement, je n’ai pas de photographies de la plante en été. Il nous faudra sans doute attendre l’été pour voir quelle allure elle a en fleur. Je l’ai donc à l’œil.
Des croquias ???
J’ai chez moi les deux sortes de bardane, la petite et la grande. Marie-Victorin (Flore laurentienne) ne mentionne pas ce nom vernaculaire. Le groupe Fleurbec, lui, (Plantes sauvages des villes et des champs), affirme que c’est un des nombreux noms vernaculaires de la Grande Bardane. Des gens de la région de Montréal et de la Montérégie m’ont dit qu’ils appellent « croquia », la bardane, qu’elle soit petite ou grande.
Mais cette plante-ci, chez moi, est plus fine que la bardane, petite ou grande, elle ne devient pas plus costaude avec le temps, mais elle est aussi embarrassante. Une amie, botaniste amateure, n’a pas pu y mettre un nom.
Par bonheur, mon chat, qui se promène passablement sur mon grand terrain de quelques arpents, ne frôle pas cette plante, sauf exception, où parfois il arrive à l’enlever de son pelage avec ses dents, parfois je l’aide moi-même.
Chose certaine, nous brûlons, nous brûlons. Merci infiniment.
Et Belle Année 2021 !
Vous avez des photos de cette plante en été ?
Je vais voir, je ne suis pas certain. Mais, en fleur, le contraste est marquant entre ce qu’elle est à ce moment-là, pas du tout « accrocheuse », et ce qu’elle va devenir par la suite. Pour les deux variétés de bardane, on voit à l’avance ce qu’elles vont devenir, comme pour le chardon. Je vais fouiller dans mon bagage d’images,
Cher Serge, malheureusement, je n’ai pas de photographies de la plante en été. Il nous faudra sans doute attendre l’été pour voir quelle allure elle a en fleur. Je l’ai donc à l’œil.