Mon grand ami Marcel Landry est parti hier à 86 ans
Impossible de tout dire de la vie très riche de Marcel. Chose certaine, il était l’homme de l’engagement social.
Je connais beaucoup la vie communautaire, avec ses grandeurs et ses misères. Mais, en ce domaine, rien ne ralentissait Marcel, dévoué et tenace. À Québec, il nous fut fort précieux.
Foutue maladie du cerveau. Tristesse. Grand appauvrissement soudain.
Toutes mes sympathies à Michèle, son amoureuse. C’est à brailler, chère Michèle. Et merci à mon cher camarade Michel Trahan, qui m’a prévenu du départ de notre complice. Oui oui, le Michel Trahan de LS-Radio à l’époque. Solidarité.
Vous pouvez retrouver Marcel dans une entrevue qu’il donnait à Alexandra Perron, du journal Le Soleil, le 23 décembre 2015. J’ai d’ailleurs repêché là la photographie de Marcel devant son poteau, une capture d’écran attachée à cette entrevue, une photographie de Patrice Laroche. Merci à vous deux, Alexandra et Patrice.
Vous trouvez le visage de Marcel et pouvez l’écouter sur l’immense création de l’Îlot fleurie, où Marcel a secondé Louis Fortier (1947-2000), acteur bien important dans cet immense territoire tout à fait délaissé avant ce projet en plein cœur de la ville de Québec.
Et vous voulez l’entendre nous parler de son projet de décoration des poteaux de bois à Québec, gagnez cette vidéo en You Tube. Vous l’entendrez avec sa belle voix de basse, lui qui aimait tant le chant, même le chant choral.
Marcel, s’il nous est donné un jour de nous retrouver entre amis qui nous sont chers — il me semble que c’est Marguerite Yourcenar qui avançait ce propos — j’espère que tu vas être là, diable. Ton départ nous appauvrit tellement.
Chère amie, cher ami, on a beau dire, la mort d’une ou d’un proche, ça magane.
Marcel Landry incarnait pour moi le québécois idéal, il avait compris « que la plus haute fonction de la culture est de donner conscience aux gens de la grandeur qu’ils ignorent … » Si LS-Radio a fait l’honneur et le bonheur de la Belle Capitale dans les années 70, je me souviens, c’est grâce à lui !
🎏 Michel Trahan, ex-ondes
Merci infiniment, cher Michel !
J’ai connu Marcel à la chorale. Quelle voix de basse avec notre petit groupe bien serré. Les partitions ne l’intéressaient pas vraiment. Il en avait pas réellement besoin. Son oreille suffisait. En concert un as de chœur ..Sans oublier le tribun animateur de nos concerts. Et pour comble de bonheur Marcel n’avait pas son pareil pour habiller et animer nos mémorables party. Tu nous a beaucoup manqué Marcel ces dernières années. Le pupitre de basses ne s’en est jamais vraiment remis. Reposes en paix et en voix. Elle nous enveloppe à jamais.
Yves M
Comment Vous remercier, cher monsieur Marcil, pour votre témoignage !
Nous l’avons tant aimé !
Bonjour, monsier Provencher.
Je vous remercie de tout coeur de toutes ces marques d’appréciation que vous avez témoignées à mon père via votre billet et cet article encore tout chaud publié dans Le Soleil. Je sais que votre amitié lui était extrêmement précieuse, et ce, même s’il s’en gardait les détails juste pour lui, ou du moins qu’il ne les partageait pas trop avec ses enfants. Espérons que j’aurai le plaisir de vous rencontrer lors de ses funérailles. D’une façon ou d’une autre, je tiens à vous offrir mes sympathies pour la perte de votre ami.
Sa fille, Danielle Landry
Dieu, chère Danielle, que vous êtes adorable ! Merci infiniment pour vos mots, ils me sont bien précieux, ils me touchent le cœur. Marcel et moi, nous nous aimions beaucoup. C’était le grand air entre nous deux. Ça appauvrit en diable de perdre soudain quelqu’un comme lui. Mais on nous dit que c’est ça la vie et qu’il faut s’y faire.
Merci encore, Et toutes mes sympathies.
Jean
Cher Jean je te remercie ici en repensant à cette belle et longue amitié qui vous unissait. Je sais combien Marcel était heureux de suivre ton travail partout oû il spparaissait, à la télé, à la radio, dans tes saisons livres références qu’il avait à la main bien souvent. Je te reverrai avec plaisir et avec plaisir t’écouter aussi à la radio. Merci encore Jean. Je t’embrasse.
Michèle Renaut la toujours amoureuse de cet homme particulier qui nous a quitté.
C’est bien moi qui te remercie infiniment, chère Michèle, de ces mots. Marcel avait l’âme large et aimait beaucoup de monde. Je fus du groupe des personnes qu’il aimait. Et il était pour moi un véritable encouragement dans ma vie.
Je t’embrasse, belle amoureuse de cet homme qui as eu la chance de vivre avec lui au quotidien.
Mes sympathies, Jean. Je transmets aussi mes sympathies à la famille de Marcel, et particulièrement à sa conjointe , Mme Renaut, que je n’ai jamais eu le plaisir de rencontrer.
J’ai connu Marcel autour des années 1993-1994, lors de la fondation du comité des citoyens et citoyennes du quartier St-Roch.
Louis Bélanger
Merci beaucoup, Louis, merci beaucoup.