Juliette nous ferait-elle un clin d’œil ? Elle a appris bien des choses au contact d’un humain ces dernières semaines. Elle a découvert que pour sa santé maintenant il lui valait mieux laisser le pain aux oiseaux… que la nourriture qu’on lui donne dans une écuelle est bien plus goûteuse que les carcasses des petits rongeurs qui faisaient ses repas de fête jusqu’à présent. Est-ce son imagination ? Elle a plus d’allant. Elle se sent d’attaque pour affronter la longue saison froide. La sauvageonne apprend même à poser comme le ferait une chatte de la ville. Une chose est sûre la photo qu’elle a permise à son nouvel ami est de toute beauté. Elle veut bien le laisser la suivre si ça lui plaît. De toute façon la vie est plus belle quand il est là.
Elle comprend maintenant certains mots, comme « Viens, viens » ou encore « Ici, ici ». Et elle s’impatiente quand je reviens, réclamant sa pitance. Elle qui n’émettait aucun son au cours des trois ou quatre premiers mois miaule maintenant comme un chat domestiqué. Mais elle refuse tout à fait le toucher de la main.
Bien réussi et inspiré comme photo. Et le titre bien choisi. Je peux imaginer que si Juliette pouvait parler, elle n’aurait que de bons commentaires pour la photo :-)
Juliette nous ferait-elle un clin d’œil ? Elle a appris bien des choses au contact d’un humain ces dernières semaines. Elle a découvert que pour sa santé maintenant il lui valait mieux laisser le pain aux oiseaux… que la nourriture qu’on lui donne dans une écuelle est bien plus goûteuse que les carcasses des petits rongeurs qui faisaient ses repas de fête jusqu’à présent. Est-ce son imagination ? Elle a plus d’allant. Elle se sent d’attaque pour affronter la longue saison froide. La sauvageonne apprend même à poser comme le ferait une chatte de la ville. Une chose est sûre la photo qu’elle a permise à son nouvel ami est de toute beauté. Elle veut bien le laisser la suivre si ça lui plaît. De toute façon la vie est plus belle quand il est là.
Elle comprend maintenant certains mots, comme « Viens, viens » ou encore « Ici, ici ». Et elle s’impatiente quand je reviens, réclamant sa pitance. Elle qui n’émettait aucun son au cours des trois ou quatre premiers mois miaule maintenant comme un chat domestiqué. Mais elle refuse tout à fait le toucher de la main.
Bien réussi et inspiré comme photo. Et le titre bien choisi. Je peux imaginer que si Juliette pouvait parler, elle n’aurait que de bons commentaires pour la photo :-)
Bonne journée !
Merci infiniment, cher Claude. Bien belle journée à toi. Je vais transmettre ton propos à cette gamine ensauvagée.