Et les voilà !
Ils rentrent à l’instant. Le grand pommetier est en fleur. Ils visitent même les premières fleurs des pommiers moins empressés à fleurir.
Ils sont fort nombreux. Quelque chose comme 20 ou 25 certainement. C’est le banquet. Je me demande même s’ils ne mangent pas des fleurs de pissenlit.
Ils semblent avoir passé au Sud un hiver du tonnerre tant ils sont beaux et manifestement très en santé. Tout pour mettre au monde maintenant des enfants incroyables comme eux.
S’il m’arrivait d’être chanceux, certains pourraient décider de passer l’été ici.
Le chat, couché, les pattes retournées sur lui-même, les regarde simplement. Il apprend. Découvre un nouvel univers.
Quelle vie quand même que celle des Jaseurs d’Amérique !
Et comme quoi il ne fallait pas couper ces arbres en 1976 même si, à un peu plus de 40 ans, on les disait au bout de leur vie utile.
Aussitôt que vous voyez un jaseurs , couper des bouts de ficelles ou de laine e mettez les sur la corde à linge ou suspendu dans l’arbre qu’il fréquente. Vous le verrez faire un nid pas très loin . J’ai fait l’experience Deux année de suite . Une de vos lectrice occasionnelle.
Merci beaucoup, chère Madame Bussieres, de cette sage observation. Pourquoi ne nous mettrions-nous pas à la ficelle ou à la laine ? Ainsi pourrions-nous peut-être assurer une plus longue présence de ces oiseaux magnifiques.