Jamais n’aurais-je pensé pouvoir approcher d’aussi près les Sizerins à tête rouge
La longueur de mon bras nous sépare. Ils ont l’objectif de ma caméra dans le visage… ou leur arrière-train. L’un d’eux est à mes pieds.
Et ils sont complètement indifférents à ma présence. J’ai songé, un instant, à tenir ma caméra de la main gauche et prendre l’un d’eux dans ma main droite. Mais cela aurait été un viol.
Ils font partie du groupe des Fringilidés, celui des grands voyageurs.
4 commentaires
Publier un commentaire
J’en ai aussi une trentaine aux mangeoires cet hiver et ils ne sont pas effrayés par ma présence. Il y a aussi les dur becs des sapins, sittelles à poitrine rousse et blanche, les geais bleus et 4 écureuils roux…. pic mineur et chevelu aussi.
Merveilleux ! Vous habitez, dites donc, un milieu très riche !
Merci de ce témoignage.
M. Provencher,
Le Sizerin flammé a fait son entrée mercredi passé !
Ils sont environ une vingtaine, quelle joie de les revoir et quel plaisir de les prendre en photo.
Ah, chère Nicole, les revoilà donc, ces grands voyageurs pourtant tout petits. Comme je Vous le disais, ils se sont sûrement attardés au restaurant du coin avant de se décider à bouger et gagner votre lieu de vie. Profitez bien de ces petits charmants, toujours bien occupés à manger. Et pourtant, jamais l’obésité ne les gagne.
Bravo !