Les jours de grands froids, les cultivateurs ne sortent pas
Ils s’encabanent, évitent de venir au marché.
Nos marchés ont été peu achalandés la semaine dernière.
Nos cultivateurs ont craint de sortir par une température aussi rigoureuse que celle que nous avons eue pendant trois jours consécutifs.
Il faisait un froid vraiment hyperboréen ; nous n’avons par conséquent aucun changement notable à signaler dans les prix.
Le Canadien (Québec), 11 décembre 1882.
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