Et cette première de quatre soirées sur le paranormal ?

D’entrée de jeu, la médiatrice culturelle, madame Sonia Lamy, nous a prévenu que le matin même, une partie de l’éclairage de la salle avait «sauté». Histoire de lutins quelconques peut-être ? Espiègles malfaisants. Bref, nous nous retrouvions tout à fait paranormaux, en noir et blanc, en sépia, comme mes images anciennes repêchées dans les vieux journaux.

Mais ce fut bien agréable.

La lampe à huile a encore ses charmes. :-)

Les photographies sont de l’ethnologue Christine Bricault, du Centre québécois du patrimoine vivant. Merci, chère Christine.