Où sont passées nos coccinelles asiatiques ?
Rappelez-vous, voilà un an encore, on se plaignait comme diables et diablesses de l’attaque en règle des coccinelles asiatiques qui arrivaient à entrer, vivantes bien sûr, dans nos maisons rurales pour y passer l’hiver bien au chaud.
Cette année, dans mon pays, chez moi, absolument aucune n’a cherché à entrer. Et il s’en trouve si peu aux alentours, sur mon terrain, que je doute d’être pris d’assaut.
Nous avons perdu nos asiatiques.
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C’est vrai! Chez nous non plus contrairement aux quelques années passées, nous n’en avons pas vu une seule à l’intérieur! Elles ont été si nombreuses à mourir dans nos greniers et entre nos fenêtres, c’est à croire que la race s’est éteinte. Je ne peux pas dire que je m’ennuie de ces visiteuses envahissantes même si j’aime bien les coccinelles!
On verra bien l’année prochaine!!
À bientôt!
Un phénomène étrange, je trouve. Après avoir été si présentes à ce temps-ci depuis une vingtaine d’années, on les dirait disparues. Comment comprendre ?
Cher M. Provencher,
Elles sont arrivées aujourd’hui à St-Malachie!!!
Bonne journée!
L’attaque est donc commencée ! Merci de nous prévenir, chère Francine. Je trouvais bien étrange leur absence.
À Frelighsburg, elles sont aussi arrivées en grand nombre ce lundi 12 octobre à cause du soleil et de la chaleur je suppose. Elles semblent se donner le mot toutes en même temps. Elles s’accrochent à tout ce qui pourrait ressembler à un abri d’hiver, incluant nos vêtements. Pas folles, on dirait qu’elles savent qu’on va les faire entrer dans la maison! C’est quand même un phénomène fascinant même si je n’aime pas particulièrement leur présence à l’intérieur. Quand elles s’éveillent au printemps, c’est là qu’on se rend compte à quel point elles ont été habiles l’automne précédent pour se faufiler à notre insu.
Merci, cher monsieur Petit. Dans mon refuge des Bois-Francs, elles sont toujours absentes. J’ai bien quelques vieilles mouches qui s’activent, mais elles, elles viennent vraiment mourir à l’intérieur. Je les retrouve soudain une à une, suspendues quelque part, immobiles, mortes et étonnamment séchées, dirait-on. Je n’ai qu’une seule coccinelle, qui semble heureuse, elle, d’avoir découvert cette cache pour l’hiver. Habile, elle a réussi son entrée, je n’ose la remettre dehors.