Le Chrysomèle de l’asclépiade
On trouve ce coléoptère depuis l’Atlantique et l’Est des États-Unis jusqu’aux Montagnes rocheuses.
Le jardinier Rock Giguère écrit que, lorsque cet insecte (Labidomera clivicollis, Milkweed labidomera) se nourrit sur une asclépiade, il devient empoisonné. «Les oiseaux ne le consomment donc pas, car le latex produit par l’asclépiade est toxique pour la plupart des insectes et des oiseaux. Ses couleurs rouge orange et noir annonce ce danger aux oiseaux.»
5 commentaires
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M. Provencher,
en parlant d’asclépiade,
avez-vous vu beaucoup de monarques des derniers temps?
Je vois le vice-roi, monsieur Choquette, sa copie mais en plus petit. Il était encore là hier. Mais je n’ai aperçu passer le monarque qu’une seule fois cet été. Et, malheureusement, il ne s’est pas posé.
Il ne fut pas présent dans les asclépiades en bordure de la route devant chez moi.
Chez-nous aussi (Repentigny)
seulement deux rencontres et ils ne faisaient, aussi, que passer…
Ça me semble bien peu.
En effet. Et pourtant, chez moi, ce n’est pas par manque d’asclépiade.
Pas de monarque non plus chez moi… où poussent pourtant bien des asclépiades à côté du potager.
Bien vu les chrysomèles cependant ! Ils étaient légion(et voraces !) pendant tout l’été, encore très nombreux la semaine dernière, vu la chaleur… À noter qu’ils préfèrent les asclépiades « incarnata » et délaissent, heureusement, celles des champs dite « commune », aimée des monarques.