Salut à toi, cher Bernard
Voilà mon copain Bernard White envolé. Dans la jeune quarantaine, dit-on. Scénographe, grand créateur, réfléchi, plein d’humour. Il habitait le quartier. Se croisant, nous échangions sur les couleurs diverses de la vie. Toutes mes sympathies à Nancy, son amour.
La vie peut aussi être vraiment cruelle.
La photographie de Bernard provient de cet article de Josiane Ouellet dans le Voir Québec du 26 janvier 2006.
4 commentaires
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Il était votre copain… Je vous offre donc mes sincères condoléances pour ce deuil d’amitié… Quelle injustice de partir si jeune !
Merci beaucoup.
Toutes mes condoléances Jean pour la perte de votre si jeune ami. C’est difficile à comprendre la vie parfois.
Reste les beaux souvenirs de l’amitié.
Merci, merci beaucoup. En vieillissant, on voit tomber du monde en chemin. Des êtres attachants. Enfant, nous ne le savions pas.