Mes oiseaux peinent
Avec ces bien grands froids, ils en arrachent. Résidents ou simples migrateurs venus pour un temps, ils ne cessent de manger avec un fol empressement. Ce qui leur est offert disparaît fort rapidement, plus vite que d’habitude. Tout ça est bien étrange. Jamais, depuis nombre d’années, n’ai-je été témoin d’un pareil comportement de la part de tout le monde. Même un pauvre Étourneau sansonnet domine sa crainte à mon égard pour pouvoir demeurer à proximité de la nourriture.
2 commentaires
Publier un commentaire
Un peu rassurée mais pas tant, de lire que vous observez la même « pressitude » que moi dans les mangeoires… et que ce soit chardon ou tournesol. Pour ces dernières, ils vont tellement vite qu’il en tombe autant qu’ils en mangent; enfin, j’ai l’impression. Ce qui n’est pas pour déplaire aux écureuils qui doivent également pâtir de ce froid sans fin… et se régalent juste au dessous.
Un hiver de froid. Vraiment.