C’est la faute du cheval
Monsieur Morin nous prie de rectifier une note que nous avons glissée dans notre dernier numéro.
Ce monsieur fait remarquer qu’il était dans le bureau de poste, lorsque son cheval a brisé l’essieu du chariot qu’il traînait et que, par conséquent, l’accident est arrivé en son absence.
L’Étoile du Nord (Joliette), 31 octobre 1885.
La photographie du forgeron O. Brazeau en train de limer les sabots d’un cheval dans sa boutique, rue William, à Montréal, fut prise le 17 octobre 1945 par Conrad Poirier. Elle provient de Bibliothèque et Archives nationales du Québec à Montréal, Fonds Conrad Poirier, Photographies, cote P48, S1, P12186.
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