Quand je suis arrivé, hier, la famille était dans la maison. Or, le chat adolescent, que je n’avais pas revu depuis cinq jours, m’a reçu avec des miaulements et des roulants par terre les pattes en l’air. Sans doute avait-il très faim. Adorable.

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• Si mon cher ami Denis Baril était vivant, ce serait sa fête aujourd’hui. Il aurait 70 ans.
• Jean Onimus (1909-2007), professeur français, écrivain, spécialiste de Charles Péguy, frappe fort. J’aime ses réflexions. Le voici dans son ouvrage L’écartèlement, paru en 1979. Un passage.
• Le chaton magnifique est descendu boire, l’autre chaton en a profité pour retrouver sa place.
• Oups ! Le chat magnifique a pris la chaise.
• Sitôt entrés, on trouve ce chaton sur sa chaise.
• La chatte baille dans la fenêtre en haut de l’escalier.
• La mangeoire métallique est vide. Il va falloir pelleter un chemin jusqu’à s’y rendre.
• Dans la neige, sur la galerie avant, le Pic chevelu mâle picore les graines tombées.
• Le revoici très proche. Il est heureux. Et je le suis également.
• Hier matin, ce chaton qui avait passé la nuit dehors est venu me saluer.