Aujourd’hui, sur le babillard
Le printemps crie. On arrive à «l’entendre», bien que beaucoup de neige soit tombée depuis une semaine. L’arrière de la maison et la plantation de sapinage du voisin, à l’avant, le montrent. D’ailleurs, habituellement, le 1er mars, la neige, dit-on, est à sa hauteur. Jamais, pour le reste de l’hiver, elle ne sera plus haute que maintenant. Les bordées ne sont peut-être pas terminées, mais le temps doux ramollit la saison froide.
Et je n’ai rien échappé de mes oiseaux, tous sont toujours avec moi. Pas un ne manque. Même ma sitelle à poitrine blanche, sur place maintenant depuis le 28 janvier. Le bonheur. Nous vivons solidaires.
2 commentaires
Publier un commentaire
Il y a dans l’air une odeur particulière, celle de mars !
Et ce matin j’ai pris le temps en allant remplir les mangeoire de m’en remplir le coeur.
Mars et son parfum, sa lumière différente…
Votre environnement est magnifique, profitez bien de vos oiseaux, les miens sont toujours présent quoi que les sizerins diminuent en nombre, remplacés par des colonies de tourterelles et d’étourneaux sansonnet.
Merci merci, chère Marie. C’est vrai qu’on dirait bien, qu’en douceur, ça commence à basculer. Une odeur, une couleur du temps, les bourgeons qui n’en peuvent plus, la lumière. Nous allons verser bientôt vers l’autre décan.