Voici le chat à l’attention
Il ne bouge plus.
Il a aperçu quelque chose sous la galerie avant.
Possiblement une souris.
Il y a 5 000 ans, chez les Sumériens en Mésapotomie, on avait recours à la mangouste plutôt qu’au chat pour frapper les rats de manière foudroyante.
Le chat, lui, guettait sa proie avec patience et circonspection, et tardait à agir.
Les Sumériens imaginèrent donc le proverbe suivant :
Un chat… pour ses pensées,
Une mangouste… pour ses actions.
Voir Samuel Noah Kramer, L’Histoire commence à Sumer, Paris, Éditions Flammarion, 1994, p. 167.
P.S. Finalement, ici, le chat a tant tardé qu’il n’est rien arrivé.
2 commentaires
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Ju-Ju, c’est un pur bonheur de te voir faire ton travail de chat. Tu es un magnifique représentant de ta race et je rêve de pouvoir laisser des ‘J’aime’ sous toutes tes photos. Malheureusement le site de Jean n’aime pas les iPads et, pour une raison obscure, il insiste pour essayer de me transférer sur Facebook, même c’est peine perdue : ça ne donne rien. Je me tais, tu as mieux à faire qu’essayer de lire. Je te fais une gratouille bien sentie dans ton cou, Ju-Ju.
C’est un malcommode, qui imite ses ancêtres sumériens. Il observe, il observe, il observe, mais, à un moment donné, l’être qu’il observait est disparu, a sauvé sa peau.