Il y a aussi un arbre tombé au-dessus de la mare

Et voilà le chat, casse-cou, qui entreprend de se rendre jusqu’au bout.

Puis il rebrousse chemin.

Et cet exercice de sa part me ramène au 5 novembre.

Rappelez-vous. Quand je suis arrivé, il était dans sa niche et n’en sortait pas.

Un plat de nourriture l’a fait sortir, ce qui m’a permis de constater qu’il était complètement mouillé.

Je l’ai couvert d’une veste de chasse pour qu’il sèche, couché sur ses coussinets.

Et je me suis beaucoup demandé ce qu’il avait vécu.

Je comprends maintenant : il était tombé dans la mare en marchant sur cet arbre.

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Retour à hier.

Alors que je repartais vers la maison, voilà qu’en vitesse il grimpe dans un arbre sur une longueur de plus d’un mètre, avant de se raviser.

Casse-cou, vous dis-je.

Et vous voyez, rien de tout cela était pour manger. Il lâchait son f0u.