Des marguerites.
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- Les trois jeunes chatons sur la table.
- Le lieu est beau et généreux.
- De jeunes chatons mangent sur la table.
- Les jeunes chatons adorent ce sac.
- La libellule brune, près de nous.
- Dans cette image, on voit l’Amiral en noir et blanc. Il est loin de nous.
- En voici d’autres.
- Deux pommes de Jos Rousseau.
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- Jean Provencher dans Tout le monde dort.
- Dan dans Tout le monde dort.
- Jean Provencher dans Ce qui tue vraiment. Comme au Moyen Âge, on accuse les chats d’être des tueurs en série. Les trois chats avec qui j’ai vécu sur 30 ans n’ont tué, en tout et pour tout, qu’un oiseau. Heureusement, ils se sont repris sur les souris ! D’ailleurs, une chance que ces prédateurs félins vivent en grand nombre avec nous, sinon nous nagerions dans les souris et les rats ! Avant d’accuser les chats de tuer les oiseaux, peut-être qu’on peut penser que les ouragans, les tornades, les tempêtes en tout genre et les vents violents sont davantage la cause de la mort de millions d’oiseaux, sans oublier les pesticides utilisés en quantité astronomique qui tuent les insectes, les oiseaux étant ainsi privés de nourriture. Je doute fort des données états-uniennes sur la prédation féline. C’est plutôt la peur archaïque des humains qui détestent les chats, qui les poussent à les calomnier comme dans les temps obscurs et, quant à moi, à fabriquer des chiffres que personne ne peut vérifier. La superstition a toujours cours. Françoise Charron, le 6 mars 2024. Le Devoir.
- Gigi dans Ce qui tue vraiment. Comme au Moyen Âge, on accuse les chats d’être des tueurs en série. Les trois chats avec qui j’ai vécu sur 30 ans n’ont tué, en tout et pour tout, qu’un oiseau. Heureusement, ils se sont repris sur les souris ! D’ailleurs, une chance que ces prédateurs félins vivent en grand nombre avec nous, sinon nous nagerions dans les souris et les rats ! Avant d’accuser les chats de tuer les oiseaux, peut-être qu’on peut penser que les ouragans, les tornades, les tempêtes en tout genre et les vents violents sont davantage la cause de la mort de millions d’oiseaux, sans oublier les pesticides utilisés en quantité astronomique qui tuent les insectes, les oiseaux étant ainsi privés de nourriture. Je doute fort des données états-uniennes sur la prédation féline. C’est plutôt la peur archaïque des humains qui détestent les chats, qui les poussent à les calomnier comme dans les temps obscurs et, quant à moi, à fabriquer des chiffres que personne ne peut vérifier. La superstition a toujours cours. Françoise Charron, le 6 mars 2024. Le Devoir.
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