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Je lui parle pendant qu’elle s’approche et ça la fait parler.

Le Colibri mâle.

L’un d’eux se fait lécher.

Il est étonnant de voir comment ils sont en santé.

Les cinq chatons sur la galerie arrière.

Les jeune chats sont éveillés.

Je profite d’entrer pour voir la jeune chatte qui a accouché de trois jeunes dans la maison.

Tiens, voilà la chatte absente depuis plus de deux semaines. Où était-elle ? Je l’ignore. Et, hier matin, à huit heures cinquante, c’est elle qui est venue me saluer dans l’allée. Elle est contente de me voir, car elle touche mes chevilles jusqu’à la porte arrière de la maison en se rendant à la maison. Les chats sont vraiment étonnants.

Et voilà une photographie d’époque de Sainte-Anastasie.

Retournons au Pays de nulle part, au journal de bord de Sainte-Anastasie en 1976. Toute personne de passage pouvait y laisser son mot, son dessin, sa couleur, bref ce qui lui vient. Complètement libre à elle. Les trois feuillets, ici, ne sont pas datés, mais, chose certaine, ce n’est plus l’été. C’est écrit que ça pouvait être aussi le milieu du monde des fois ce pays de nulle part. Ah, cela me plaît ; un cinéaste avait tourné un film en Suisse ayant pour titre « Le milieu du monde ». Bon, allons-y.