Beaucoup de personnes s’arrêtèrent à Sainte-Anastasie en 1976 et 1977. Nous appelions l’endroit Le Pays de Nulle Part. Ayant une profusion de crayons de toutes sortes, nous tenions un journal de bord collectif. Chaque personne était absolument libre d’y laisser un mot, une phrase, une simple pensée, un texte plus long, un dessin, une recette de cuisine, etc., ce qui lui venait à l’esprit. Et chaque intervention dans ce livre était respectée. La plupart du temps non signée. À noter que le Charlie dont il est question est un chat sauvage qui vivait dans la grange, que les enfants pouvaient approcher et nourrir. Voici un autre texte.

