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Archive pour

Dans un article publié dans Paragone, octobre 1971, et intitulé « Sur Proust : une idée de recherche », Roland Barthes écrit au sujet de Marcel Proust :

« Le renversement des apparences (…) procure toujours au narrateur un étonnement délicieux : essence de surprise, et non essence de vérité, véritable jubilation, si entière, si pure, si triomphante (…) que ce monde d’inversion ne peut visiblement relever que d’une érotique (du discours), comme si le tracé du renversement est le moment même où Proust jouit d’écrire. »

Cité dans le quotidien Le Monde, 28 mars 1980.

La photographie de Proust, d’Otto Wegener, est dans sa page Wikipédia.

Retour au calepin-cadeau que mes amis de Trois-Rivières — Ninon et Pierre — m’ont donné en cadeau en avril 1975. Ici, ils m’amènent à un extrait de L’Apocalypse. À l’époque, on l’évoquait. Par exemple, Aphrodite Child, dans 666, en parlait alors.

Le chat adolescent dort sur la galerie arrière.

Cette boule de Noël s’est perdue dans la neige, et par la suite dans les herbes hautes.

Le chaton dans sa chaise.

Les Bruants chanteurs sont au moins une dizaine en ce moment.

On dirait qu’ils sont un bon groupe en ce moment.

Les pousses des Hémérocalles fauves.

Venues du Régime français.

Le Carouge à épaulettes.

René Lévesque, bien sûr.

Le chaton magnifique.