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Trois autres personnages connus qui appuient « La Bhagavad-Gita telle qu’elle est ».

Thomas Merton (1915-1968), né à Prades, dans les Pyrénées Orientales, et décédé à Bangkok, en Thaïlande, moine américain, théologien, écrivain spirituel, poète et militant pacifiste. « Bhaktivedanta Swami apporte à l’Occident un rappel salutaire, à savoir que notre culture effrénée à sens unique fait face à une crise, qui peut l’amener à sa propre destruction, car elle manque de l’intense profondeur d’une conscience métaphysique authentique. »

Jean Varenne (1926-1997), né à Marseille et décédé à Paris, indologue français, spécialiste de l’hindouisme, du sanskrit, des cosmogonies védistes et de nombreux sujets touchant aux traditions de l’Inde et aux religions de l’Iran ancien. « Ce livre, la Bhagavad-gita telle qu’elle est, de A. C. Bhaktivevedenta Swami Prabnupata, magnifiquement présenté, est d’une valeur inestimable, car l’Occident connaît mal ce courant majeur de l’hindouisme… On ne peut donc que recommander vivement la lecture d’un ouvrage qui mérite de maintes façons d’être tenu pour considérable. »

Lanza Del Vasto (1901-1981), né dans les Pouilles, en Italie, et décédé à Murcie, en Espagne, écrivain et poète de langue française, philosophe, sculpteur, dessinateur et musicien. « Il est précieux, pour le public français, de posséder ce livre regardé comme sacré par les sages de l’Inde, éclairé par l’exégèse de A. C. Bhaktivevedenta Swami Prabnupata, maître prestigieux, héritier d’une haute tradition. »

Dans les Cahiers de Simone Weil (1909-1943), l’éditeur Plon invoque que Bhagavad-gita apparaît et on le définit comme « un poème religieux et philosophique de l’Inde ancienne; date indéterminable ».

Lui n’est pas allé aux corneilles.

Les chatons n’ont pas réussi.

Le chaton au collier blanc se joint à l’autre et les deux corneilles s’envolent.

Un des chatons surveille deux des corneilles, espérant en attraper une. Mais les corneilles sont très intelligentes.

Celle au niveau du sol.

Deux des corneilles.

Celle d’en bas est quasi invisible.

J’avais apporté du pain rassis et, rapidement, une première corneille s’est présentée.

Aussitôt sorti, aussitôt à marcher sur le terrain, de se dire le chaton à collier blanc.

Hier, à mon arrivée à 9 heures 55, les chatons étaient quatre dans la maison.