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Voici la corneille après son impatience.

La seconde mangeoire est placée au bout d’une longue branche du grand pin.

La troisième est suspendue sous le larmier de la galerie arrière.

La corneille crie, car j’occupe, avec mon auto, l’emplacement où je lui donne du pain habituellement.

Qu’elle soit patiente, car il me faut placer mes pneus d’hiver dans la bagnole, car je fais poser ces pneus jeudi.

Voici une première mangeoire placée à gauche de celle où il y avait de la chicane. Et il semble que les chardonnerets l’aiment.

Et voilà que la chicane prend sur l’une des deux mangeoires dans les arbres. Il me faut répartir rapidement les mangeoires décrochées par les singes.

Et la voici cette Isia isabelle dans ma main. Elle est adorable. Je ne cesse de lui parler.

Elle est immobile pendant un bout de temps. Bientôt, constatant que nous ne sommes pas dangereux, elle se met à marcher. C’est vraiment une bonne bête.

Et voici cette autre Isia isabelle.

Et suivez-la. Je vais la prendre.

Il faut être attentif, car il y a plus d’une Isia isabelle à ce temps-ci. Voici la première.

Voici la seule des deux mangeoires disponibles maintenant dans les arbres pour les chardonnerets : celle-ci et la métallique. Il faut répartir autrement les mangeoires.

Je n’ai plus de ratons laveurs sur la galerie avant, mais j’ai des singes dans les arbres à deux cents pieds de la galerie.

Ces singes ont décroché trois mangeoires et les ont vidées au sol. En voici une.

Ça va me prendre maintenant une cage pour singes et une destination autre que le Yukon.

Encore un long voyage en perspective.

Pas facile la vie de tenancier pour les oiseaux.