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L’agonie du magnifique Vulcain. Avant hier, il volait à bonne vitesse sans jamais se poser. Et, hier, il était dans l’herbe.

Je me rends le voir, il ne bouge plus. Avec un long brin d’herbe, j’arrive à lui ouvrir les ailes. Et, soudain, il les referme lentement. Alors, j’entreprends de lui dire que je suis tout près, avec lui, qu’il n’est pas seul.

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