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Bientôt, Vulcain ouvre lentement ses ailes ; il n’est donc pas mort.

Je continue de lui parler. Je trouve cela émouvant. Mais je ne veux pas le laisser là. Je décide d’aller chercher à l’intérieur un morceau de plastique transparent sur lequel je le pose, et je l’apporte sur la galerie avant. Il continue d’ouvrir et de fermer lentement ses ailes. Puis je lui parle et parle.

Après un moment, je lui dis que je vais aller le poser dans la niche du chat inoccupée, il sera abrité.

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