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Le Bruant chanteur dans sa magnificence

Il est un des premiers migrateurs à revenir du sud, la première semaine d’avril, habituellement.

Sans le voir alors, on le reconnaît par son chant. D’ailleurs, dès le Régime français, on l’a appelé « rossignol », faute d’avoir ici le rossignol français.

Il est fidèle au lieu et le connaît bien. Il raffole des hémérocalles. Il est facilement présent au pied des mangeoires de tournesol noir. Et septembre arrivant, il devient mangeur d’insectes.

Il ne part jamais pour les États-Unis avant le mois d’octobre.

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