Passage des grandes Oies des neiges
Elles filent vers l’ouest.
Allez savoir pourquoi.
4 commentaires
Publier un commentaire
Jean Provencher
- Accueil
- À propos
- L’histoire
- La nature
- La culture
- La famille
- Babillard
- Me joindre
Abonnement RSS
Accès
Recherche
-
Articles récents
- Le chat sur une marche de la galerie avant.
- La chatte couchée sur la nappe.
- Un jeune Tarin des pins surveille une Pic mineure.
- Le chat et la chatte sur la galerie avant.
- La chatte est allée voir ce qui se passe sur la mangeoire métallique.
- À la mangeoire métallique, ils sont quatre autres tarins.
- Quatre Tarins des pins et une Mésange à tête noire mangent sur la galerie avant.
- Et voici le chat.
- La voici tout près.
- Au loin, la chatte vient me rencontrer à mon arrivée, hier.
Commentaires récents
- Jean Provencher dans La chatte est jongleuse. Je me demande si elle n’est pas sur le point d’accoucher.
- Francine Lessard dans La chatte est jongleuse. Je me demande si elle n’est pas sur le point d’accoucher.
- Jean Provencher dans Le Loup de Gubbio
- Serge Filion dans Le Loup de Gubbio
- Jean Provencher dans Du lot de photographies anciennes
- Patrick dans Du lot de photographies anciennes
- Jean Provencher dans Du lot de photographies anciennes
Catégories
Archives
Liens d'intérêt
- La Fabrique de blogues I Mon hébergeur, à Montréal
Bonjour Jean,
ces voiliers d’oies vont probablement rejoindre un de leurs principaux lieux de repos à ce temps-ci de l’année: Baie-du-Febvre ou le Réservoir Beaudet à Victoriaville.
Elles sont vraiment gamines alors, Paul. Plutôt que de monter vers le nord, elles s’en vont s’attarder au sud-ouest, à Victoriaville ou au lac Saint-Pierre.
Il y aussi Cap Tourmente et Montmagny. Jusqu’à la mi-mai, au moins, c’est leur dernière étape de ravitaillement avant de se rendre vers leur aire de reproduction, là où plusieurs espèces se rendent pour la nidification. Les zones arctiques sont préférées par diverses espèces de limicoles en raison de la rareté des prédateurs.
Et vive les gamines !