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La Tourterelle triste se protège ainsi du froid, en couvrant même ses pattes

Arrivée il y a une cinquantaine d’années, attirée par nos mangeoires, elle n’est pas encore acclimatée à nos excès de froids hivernaux.

Certaines sont même mortes de froid chez moi. Je l’évoque dans mon livre Un Citadin à la campagne (Éditions Boréal, 1995), qui se trouve encore facilement.

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