J’ai mis du temps à réagir. À mon avis, ça tient aux galeries elles-mêmes.
À l’arrière, l’oiseau qui s’approche n’a que deux côtés pour fuir, alors qu’à l’avant, lui est offert un véritable panorama. Il dispose de tous les possibles. Il ne peut qu’être plus confiant.
Même les colibris qui venaient aux abreuvoirs arrières fuyaient lorsqu’ils me voyaient dans la fenêtre, alors qu’à l’avant, ils s’approchaient même s’ils me voyaient assis tout près.
Et la galerie avant est le haut-lieu de la nourriture pour eux. Pour l’humain, le haut-lieu tranquille de l’observation. Et les oiseaux ne craignent pas du tout le chat qui dort, ronronnant, sur sa niche à mes côtés.
Merci beaucoup de cette question, cher Monsieur Jacques.
Comment est-ce explicable?
J’ai mis du temps à réagir. À mon avis, ça tient aux galeries elles-mêmes.
À l’arrière, l’oiseau qui s’approche n’a que deux côtés pour fuir, alors qu’à l’avant, lui est offert un véritable panorama. Il dispose de tous les possibles. Il ne peut qu’être plus confiant.
Même les colibris qui venaient aux abreuvoirs arrières fuyaient lorsqu’ils me voyaient dans la fenêtre, alors qu’à l’avant, ils s’approchaient même s’ils me voyaient assis tout près.
Et la galerie avant est le haut-lieu de la nourriture pour eux. Pour l’humain, le haut-lieu tranquille de l’observation. Et les oiseaux ne craignent pas du tout le chat qui dort, ronronnant, sur sa niche à mes côtés.
Merci beaucoup de cette question, cher Monsieur Jacques.