Dans un milieu sain comme celui-ci, où un grand nombre de vivants y vivent leur vie, chacun de ces vivants doit concéder une partie de lui-même aux autres, afin qu’il puisse lui-même vivre sa vie
Ici, nous sommes en présence du bout d’une branche de l’aubépine, un arbre devenu fort imposant. On constate bien que des feuilles ont été en partie mangées. Il y eut concession.
Mais c’est le prix qu’a dû payer le bout de cette branche pour vivre sa vie propre.
Le système du grand capital, lui, ne privilégie pas la présence d’un grand nombre de vivants.
Bien au contraire, par toutes sortes de moyens, il réduit la vie, espérant un fort rendement de ce qui reste.
Au 19e siècle, on s’est mis à évoquer cela comme étant du « progrès ».
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