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Jean Onimus, dans son ouvrage L’écartèlement

Quand son cœur se met à battre, l’homme le mieux robotisé retrouve un continent perdu — celui qu’explorait spontanément son enfance, celui que laissent affleurer parfois l’écho d’une musique, le passage d’un oiseau, le tintement d’un vers.

Et cet univers-là, nous le sentons tous, c’est celui du sens, celui qui donne sens à nos vies.

 

Jean Onimus, L’écartèlement, Supplice de notre temps, Éditions Desclée de Brouwer, 1979, p. 108.

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