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J’ai à l’œil, de très près, le groseillier à maquereau

Pour mille raisons.

D’abord, il est un hommage à madame Joséphine Bergeron, la mère de mon voisin André aujourd’hui décédé, qui a habité mes lieux durant les années 1960 et a planté ce massif de groseilliers à maquereau.

Il y a aussi le fait que, de tous mes arbres et arbustes, il est le premier à faire ses feuilles.

Et puis, ses fleurs sont vivement attendues fin-mai par la Polistes dominulus, une guêpe jaune magnifique, d’une grande intelligence, qui adore le nectar qu’elles lui proposent.

Ce groseillier à maquereau est un centre de vie sur ce grand terrain aux manifestations fort variées.

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