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Jamais n’ai-je vu au même moment autant d’insectes heureux du lilas en fleur

Et, ici, ce sont ceux que j’ai pu photographier. Le Sphinx colibri était là également, ainsi qu’une variété de bourdons. Ce n’est pas vrai que la Terre fout le camp. Il ne faut absolument pas écouter tous ces prêcheurs d’apocalypse.

 

 

2 commentaires Publier un commentaire
  1. Bonjour M. Provencher, c’est un simple crapaud qui m’a fait découvrir votre site. En cherchant comment soigner mon pauvre batracien du coup de bêche que je lui avais donné par accident, je suis tombée sur votre site. Je suis une fidèle lectrice maintenant. Vous m’avez détournée de La Presse+!!!
    Je vous trouve très chanceux d’avoir un Passerin Indigo. J’ai vu chez moi pour la première fois un Tangara écarlate peut-être rebaptisé depuis Pyranga, mon guide est de 1982…on ne sait jamais ce qu’on va découvrir dans la cour, il faut juste ouvrir l’œil.

    Merci beaucoup!
    Josée C.

    13 juin 2019
  2. Jean Provencher #

    Merci beaucoup, chère Madame Campeau. Et bravo pour les soins à votre crapaud, c’est un personnage important dans un jardin.

    Par ailleurs, je suis peut-être dans les pommes de terre, mais je crois que le Tangara écarlate est encore plus rare que le Passerin indigo. Chez moi, en 43 ans maintenant, j’ai vu cet oiseau une seule fois, posé là où j’avais retourné la terre de mon potager. Donc l’effet du rouge sur le noir de la terre était remarquable. Mais je ne l’ai plus jamais revu.

    Et vous avez raison : il faut garder l’œil ouvert, être aux aguets.

    Merci encore de votre message heureux.

    13 juin 2019

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