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Il m’est arrivé quelques fois de passer l’hiver avec quelques corneilles

Mais, cette fois-ci, aucune.

Hier seulement, trois sont entrées, fort bavardes. Avec l’envie, dirait-on, de s’imposer, ou de crier qu’elles apportent le printemps.

L’une d’elle a choisi de se percher au sommet d’un grand peuplier faux tremble. Peut-être a-t-elle vu que les bourgeons de l’arbre n’en peuvent plus de se retenir et que l’éclatement se fera sous peu.

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