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Tout se précise pour Joseph Napoléon Allard

Vous venez sur ce site depuis quelques mois, alors vous savez que nous sommes à la recherche d’un personnage qui nous intrigue. C’est qu’en mai dernier, et quelques fois par la suite, sont tombés d’une petite ouverture du larmier de ma maison des documents liés à la vie de Joseph Napoléon Allard.

Que faisaient donc ces documents dans les murs de ma maison construite dix ans après son décès en 1912 ? Pour le savoir, il fallait partir à sa recherche. Qui était donc cet homme ?

Au fil des semaines, nous avons su qu’il fut sellier, fromager, puis inspecteur de beurreries et fromageries pour le ministère de l’Agriculture du Québec. Et ces documents nous montrent en particulier, qu’il aimait beaucoup les chevaux et qu’il en prenait grand soin. J’aurais volontiers partagé avec lui une partie d’été, ne serait-ce que pour bien apprendre sa relation avec le cheval qui l’accompagnait toute la saison.

Au printemps, il empruntait le cheval d’un habitant dans une région donnée, le temps de ses courses d’inspecteur dans la région, et le rapportait au propriétaire quelque part en septembre ou en octobre.

Et les documents de ma maison viennent en partie de ces proprios qui témoignent, à chaque fois, qu’Allard leur a ramené la bête en aussi bonne santé, sinon même davantage, que lorsqu’ils la lui ont confiée au printemps.

Mon ami Paul Pilon m’a beaucoup aidé dans cette histoire. Il a même rejoint son arrière-petite-fille, Christiane. Celle-ci m’envoie cette photographie de Joseph Napoléon Allard habillé en zouave pontifical.

Il me reste maintenant à établir le lien entre monsieur Allard et ma maison, lui qui n’a jamais habité dans la paroisse.

Merci beaucoup, Madame Allard, pour cette photographie. Salut, cher Paul.

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