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Et le voilà à nouveau au museau ferrugineux

Le prix pour les voyages dans les terriers aux sentiers bien étroits, riches en poussière de fer. Mais ça lui va tout à fait, à ce petit de l’année.

Il semble cependant blessé sur le nez.

Nul petit être vivant ne connaît autant d’ennemis que lui, le Tamia rayé, le suisse. À tout bout de champ, le ciel peut lui tomber sur la tête, le pauvre.

Rappelez-vous, le 20 septembre, il buvait l’eau sucrée des colibris et n’était pas blessé au nez.

J’aime le voir détendu, car toute sa vie le met tellement nerveux.

Parlant de museau ferrugineux, il y avait aussi ma marmotte, qui présentait le sien à l’entrée du terrier de la batterie.

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