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Archive pour

Ce soir, à Québec

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Mon cher ami Jacques Bertin, chanteur et journaliste, vient de nouveau passer quelques jours au Québec. Je vous ai parlé de lui déjà, voyez ce billet. Lire la suite

L’arbre de la route Moreau

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Comme s’il tenait à être tout juste un peu à l’écart.

Je l’observe au loin depuis bien longtemps. Lire la suite

Comment ne pas revenir sur le bonheur de la Terrasse à Québec (quatrième et dernier billet)

quebec terrasse dufferin printemps ou automne

Depuis trois jours, nous prenons plaisir au grand texte de Cléophe sur la terrasse Dufferin, en particulier les soirs d’été. Ici, il termine en chantant la nuit. Lire la suite

Pelleter dans la lune

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Un astronome espagnol a découvert qu’il y avait de la neige sur la planète de la lune comme celle de la terre. Lire la suite

La grandeur de l’automne

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L’automne, c’est la plus belle saison de l’année. Vous avez toutes les joies du printemps sans en avoir les désillusions. Lire la suite

Les ruses de la publicité

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Le Franco-Canadien (Saint-Jean-sur-Richelieu), 25 octobre 1889.

Comment ne pas revenir sur le bonheur de la Terrasse à Québec (troisième de quatre billets)

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Depuis 48 heures, nous prenons plaisir au grand texte de Cléophe sur la terrasse Dufferin, en particulier les soirs d’été. Poursuivons.

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«Un mot pour les amateurs de la chasse aux canards.»

canard branchuDepuis deux semaines, par cette température superbe et délicieuse dont nous jouissons, les échos du grand fleuve sont sans cesse ébranlés par les détonations des armes à feu. Lire la suite

Non mais quel automne !

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Décidément, les baromètres sont dérangés.

De malins esprits exercent sans doute sur eux une pression. Lire la suite

Comment ne pas revenir sur le bonheur de la Terrasse à Québec (second de quatre billets)

Joseph Vézina (1849-1924)

Joseph Vézina (1849-1924)

Avant la venue des neiges, Cléophe tenait à se rappeler l’été sur la Terrasse. Nous l’accompagnons.

Cette grande véranda est en réalité la commune propriété de toute la population. Parlez-nous d’un petit balcon de famille ! Il s’y trouve, par les beaux soirs d’été, jusqu’à dix mille promeneurs; je ne les ai pas comptés, cela grouille trop. Lire la suite