Requiem pour le Café anglais à Paris
Balzac y fait référence, Flaubert y met en scène un grand déjeuner, un personnage de Maupassant y dîne, Stendhal y soupe trois fois par semaine, de Musset, Dumas et Sue sont des habitués, voilà ce que dit sa page Wikipédia.
Le quotidien montréalais La Patrie, du 8 juin 1910, évoque sa disparition prochaine. Lire la suite