Voilà l’endroit libéré de la grange effondrée
Comme je le dis à mon ami René, il y a là maintenant tout l’espace voulu pour construire un «grill» ou un bar de rang. Peut-être serait-ce plus payant que l’histoire ? M’acheter un gros char de l’année ? Des bagues en or plein les doigts ? M’assurer des services d’une belle et bonne gérante ? Je pourrais tout surveiller de ce qui se passe par la fenêtre de la cuisine, au-dessus de l’évier. Et pourquoi pas lui donner le nom du «Bar de Cacaouette».
On suivra les péripéties de ma chère grange maintenant disparue dans les billets suivants.
No comments yet