Une revue étonnante pour les amants de la Nature
Les revues québécoises, nous le savons, sont reconnues pour leur grande qualité. En voici une, moins connue peut-être, car il faut être membre des Amis du Jardin botanique de Montréal pour l’obtenir. On ne la retrouve pas dans les maisons de la presse. Mais quel ouvrage magnifique ! Sujets surprenants, nombreuses découvertes à faire pour qui aime la monde de la botanique au sens le plus large du terme et photographies de première qualité.
Le numéro d’automne 2014 porte sur le temps, en particulier chez les plantes. Belle occasion, écrit la rédactrice en chef Danielle Ouellet, de présenter la tendance Slow, qui a notamment inspiré celui du «slow gardening».
En février, celle-ci me demandait un texte sur le thème de la lenteur. Quel plaisir qu’une pareille commande ! Après la page couverture de ce numéro d’automne, et le sommaire de la publication, je vous propose, à Vous qui fréquentez ce site, la seconde page de ce texte que je lui ai soumis, qui porte le titre «Lenteur, vapeurs et fleurs». Vous vous y reconnaîtrez.
La lecture de votre texte me ramène à un bouquin de Laferrière qui va à peu près dans le même sens: « L’art presque perdu de ne rien faire »… Prendre le temps de VOIR la vie, de la goûter, de la contempler, la savourer ! Dans les petites choses qu’on ne remarque pas si… on ne prend pas le temps.
La «prise de temps» nourrit, alimente, chère Vous, je trouve. Et on se retrouve avec de véritables prises au sol.
Bonjour M. Provencher,
Très bon article!
Il n’y a rien comme la campagne pour reprendre le rythme de la nature. La densification de la ville nous a fait fuir en région il y a un peu plus de deux ans. Mon conjoint et moi considérons que c’est le meilleur choix que nous ayons fait pour notre tranquillité et pour le bonheur de nos deux chats. Nous en sommes reconnaissants à chaque jour.
C’est en cherchant un nom d’oiseau que j’ai découvert votre blogue qui m’a tout de suite plu car vous décrivez bien ces petits riens qui nous rappellent combien il vaut la peine de prendre le temps d’écouter, sentir, regarder, goûter…
Merci
Francine
Comment Vous remercier, chère Francine ! Et je comprends tout à fait le choix que votre conjoint et Vous avez fait. Vous avez tellement raison.