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À Vous, chère Damascène, cher Damascène, qui venez de passer à cet instant 31 minutes sur ce site

La météo me dit qu’il fait 250 chez vous en ce moment, à 21 heures 22; ici, il fait 200, à 14 heures 22.

J’ignore tout de qui Vous êtes. Je vois que Vous avez consulté six pages. Je Vous salue et j’espère tant que Vous y avez trouvé quelque chose qui se rapproche de la paix.

 

L’illustration de la place des Omeyyades à Damas, un «travail personnel» de Bernard Gagnon, apparaît sur la page Wikipédia consacrée à Damas, la capitale de la Syrie.

 

P. S. Il est 19 heures, à Québec, cinq heures plus tard. Et déjà trois autres Damascènes viennent de venir sur le site. Ô bonheur ! Le mot s’est passé. Chez vous, là-bas, dans votre nuit syrienne, faites de beaux rêves, je l’espère.

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