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La voilà, la Crécerelle d’Amérique !

Une pure beauté. Je vous disais ne pas être capable d’en faire une photographie intéressante. Une amie de Dosquet m’en envoie une ce matin. Quelle belle image de cette bête magnifique, une photographie toute épurée !

Annie m’écrit : «J’ai pris la photo hier, vendredi. Ça fait quatre jours qu’on la voit. Elle était près de notre jardin. Heureusement qu’Octave n’était pas là.»

Vous vous souvenez assurément d’Annie Charest et d’Yves Laroche, les parents, avec Louise, d’Octave l’épouvantail.

Merci, chère Annie, de ce cadeau. Salutations à Yves.

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