Rassurez-vous
Oui, oui, je sais, à travers ces pages, j’emprunte invariablement mille et un sentiers. Certains pourraient croire que c’est à donner le tournis, le «tournoiement de la bête atteinte».
Mais rassurez-vous. Je continue de beaucoup prendre soin de mes oiseaux, mon «sentier premier». Mes grands compagnons depuis tellement d’années. Un jour, je vous raconterai ma rencontre, enfant, du barbier Moreau, à Trois-Rivières, qui a fait naître chez moi ce grand amour des oiseaux.
En attendant, voici certains de mes très beaux. D’aujourd’hui. Tantôt ils vaquent, tantôt, manifestement, ils m’ont vraiment à l’œil. N’arrivant pas à se faire à l’idée, dirait-on, que je suis des leurs. Mais voilà, c’est ainsi.
Et toujours aucune nouvelle présence. Les noirs se font désirer. Le merle aussi d’ailleurs, qui devrait être là bientôt. Ah, misère de misère.
Et ne faites pas de saut, il neigeait doucement chez moi. Nous étions là à vivre nos vies diverses, occupés, sous un plafond sans soleil. Et ça allait.
Eh oui, les « noirs » arriveront très bientôt, si ce n’est déjà fait dans ton coin de pays..!
Dis-nous, mon cher, l’oiseau figurant sur le dernier cliché de ta série, est-ce bien une Corneille américaine?
Par ici, me dirigeant franc sud le lundi 17 mars, j’ai noté un imposant arrivage de celles-ci… à croire qu’elles avaient toutes rendez-vous avec une énorme pinte de Guinness nordique..!
Depuis, les Grands corbeaux n’ont qu’à bien se tenir, ce qu’ils réussissent fort bien, par ailleurs… ;-)
Joyeux et vivant Printemps..!
Il me semble bien, cher Mario. Chez moi, certaines corneilles sont légèrement plus petites que d’autres. Je n’ai jamais pensé que les plus corpulentes puissent être des Grands Corbeaux. Est-ce que le Grand Corbeau peut vivre dans la plaine, et dans un milieu comme le mien ?
Heureux Printemps à toi de même, cher ami !