Un temps pour la maison
Dans Cap-aux-Oies (Montréal, Libre Expression, 1980), Jean O’Neil écrivait que c’est un temps pour tourner le dos à la porte et se laisser hypnotiser par les braises qui luisent à travers la tirette. Et il ajoutait :
Et puis, même si les habitants n’en ont pas vu depuis cinquante ans, quand le vent se met à brailler dans la porte comme un enfant malade, instinctivement, on pense aux loups.
No comments yet