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La Gélinotte huppée

L’image n’est franchement pas réussie, mais c’est la meilleure à ce jour. Depuis un mois, quatre magnifiques Gélinottes huppées, ce «gros gallinacé des bois broussailleux» dit Roger Tory Peterson, ont adopté mon lieu de vie. Mais, à chaque fois, même en m’approchant à pas de loup, elles finissent par m’apercevoir et s’envolent à distance. Je me retrouve donc incapable de les prendre en image. Et je n’ose les nourrir, de peur qu’elles deviennent familières et qu’un chasseur passe les abattre lors d’une de mes absences.

On lui a donné plusieurs noms : perdrix, perdrix des bois francs, perdrix grise, perdrix rouge. James M. LeMoine, dans son Ornithologie du Canada, l’appelle «perdrix ordinaire» ou «coq de bruyère». Après le Dindon sauvage, elle est le plus gros de nos oiseaux terrestres.

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