Voilà les premières Belles-d’un-jour !
Mais elles ne sont pas encore nombreuses. Huit seulement viennent d’éclore. Tout de même, la fête du fauve commence. À mon grand bonheur, à celui de mes colibris, et puis de mes Bruants chanteurs après la floraison, quand tout sera terminé.
À voir le nombre de longues hampes chargées de boutons, toute la chorale y sera dans quelques jours. Et, marchant le terrain, en voici deux échappées de culture, aussi belles que celles nourries devant la galerie par le tournesol tombé.
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