François Villon (première de trois parties)
Et enfin vint Villon. Un grand moment dans la littérature française.
Et puis, en juin 1903, un certain J.-N. Blanchet, qui ajoute après sa signature : «Université Harvard, Cambridge, Mass.», propose à l’hebdomadaire montréalais L’Album universel un très long texte sur ce poète français. À qui que ce soit j’aurais parié le peu de mon avoir que jamais je n’arriverais à trouver un texte sur cet homme important dans la presse québécoise de 1900. Le texte est publié le 27 juin 1903. Quelle belle surprise ! Lire la suite