Les chatons ébarouis

Cher Roger, je l’ignore tout à fait. Autrefois, j’avais un voisin pas très loin, dont l’épouse venait vendre leur miel au marché du Vieux-Port à Québec. Les deux sont maintenant décédés et c’en fut fini des abeilles. On dit qu’elles peuvent butiner, semble-t-il, aussi loin qu’à sept kilomètres de la ruche. J’ai beau me promener dans les environs, les ruches les plus près sont à au moins 20 kilomètres. Mais il pourrait s’en trouver bien cachées, abritées d’un curieux de ma sorte.