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Résultats de recherche pour 'Satprem'

Un ouvrage de réflexion de Satprem

Durant les années 1950, Bernard Enginger (1923-2007), chercheur des mondes à venir, dit sa page Wikipédia, sent le besoin de quitter l’Occident pour gagner l’Inde. Là-bas, on lui donnera le nom de Satprem. Lire la suite

Retour sur Satprem (1923-2007)

Ce que j’aime de cet homme, dont les œuvres sont aujourd’hui malheureusement à peu près introuvables, c’est que souvent il réfléchit, il médite à voix haute, nous donnant à l’accompagner. Lire la suite

Un mot de Satprem (1923-2007)

Tout est joie, mais nous avons oublié. Lire la suite

De Satprem, un livre de sagesse

En son temps, j’ai beaucoup aimé Par le corps de la terre, un livre pour cheminant, un livre pour personne en marche, en quête d’elle-même au fond. Certains en riaient peut-être, je ne sais plus, mais d’autres l’ont trouvé fort utile.

Voici quelques extraits. C’est beaucoup réduire l’ouvrage qui compte 444 pages. Allez, une idée du ton. Le personnage est en quête de sagesse, vit des moments heureux, mais souvent aussi fort difficiles. La cuve à laver. Lire la suite

Retour à Satprem

Page couverture satprem

Extrait de La Genèse du surhomme.

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De Satprem

Zen

La matière que nous écrasons sans pitié est aussi vivante, active, «responsive» que la coulée des étoiles sur nos têtes ou l’invisible frémissement du lotus sous le soleil de mai. Lire la suite

Dans la série « Le plus beau mot du monde»

Il existe une petite flamme pure. Parfois, on plonge très profondément dedans ; alors, là-bas, il y a comme un sourire d’enfant, quelque chose qui regarde le monde dans une transparence […].

Satprem

Dans la série « Le plus beau mot du monde »

La matière que nous écrasons sans pitié est aussi vivante, active, responsive, que la coulée des étoiles sur nos têtes ou l’invisible frémissement du lotus sous le soleil de mai.

Satprem

Dans la série « Le plus beau mot du monde »

Seul le semblable reconnaît le semblable.

Satprem

Dans la série « Le plus beau mot du monde »

Laisser jouer un suprême Enfant en nous qui court par les grandes prairies du monde et qui ne demande qu’à jouer avec nous et pour nous, si nous voulons, parce qu’il est nous.

Satprem