Sur la piste à nouveau de ce cher Albert Lozeau
Une visiteure du site m’a remis sur la piste, hier, de ce magnifique poète québécois. Il a si bien chanté les saisons et le temps qui passe.
Voici Septembre. Lire la suite
15 Sep
Une visiteure du site m’a remis sur la piste, hier, de ce magnifique poète québécois. Il a si bien chanté les saisons et le temps qui passe.
Voici Septembre. Lire la suite
Je le répète, je l’aime beaucoup. Il n’y a bien une vingtaine de billets sur ce site où apparaît un de ses textes ou il est mentionné. C’est lui qui a imaginé cette belle formule : Le calme d’une ville est fait de bruit calmé.
Le voici ici sur le thème de l’attente. Lire la suite
Ce poète québécois est présent sur ce site depuis le début. Il décède bien jeune, en 1924, à 46 ans. Je possède plusieurs livres de cet auteur. Et, étonnamment, dans celui-ci, publié une année après son décès, aucun nom d’éditeur n’apparaît. Déjà paru en 1912, peut-être était-il épuisé en 1925 et on s’est empressé de le rééditer ?
Le poète avait dédié ce livre ainsi à Louis Fréchette, alors décédé. Et voici le prologue qu’il proposait : Lire la suite
Tournant les pages, je m’en réjouis, moi qui l’aime beaucoup.
Voici, échappé dans La Patrie du 28 novembre 1903, ce petit poème de ce cher Albert.
J’aime beaucoup les poètes Albert Lozeau et Paul Verlaine. J’ignorais tout à fait cependant que le jeune Albert n’aimait pas, mais vraiment pas du tout, Verlaine.
Jules-Paul Tardivel, le journaliste vite sur la gâchette, celui qu’en son temps certains surnommaient Pistolet, a échappé quelque part son admiration pour Verlaine, ce qui a choqué Lozeau. Le 2 mai 1902, ce dernier écrit au quotidien La Patrie. Lire la suite
En 1907, grâce à l’entremise du critique français Charles ab der Halden, le poète Albert Lozeau, âgé de 29 ans, publie à Paris et à Montréal son premier ouvrage de poésie, L’Âme solitaire. Le livre est fort bien reçu, au point où il connaît un nouveau tirage l’année suivante. Lire la suite
24 Juin
Dites, vous connaissez ce poète québécois du premier quart du 20e siècle, contemporain d’Émile Nelligan, ami de Charles Gill et de Louis-Joseph Doucet ? Je l’ai découvert, un jour, dans son deuxième recueil de poèmes, Le Miroir des jours, paru à Montréal en 1912. Michel Lemaire, professeur à l’Université d’Ottawa, spécialiste de Lozeau, écrit qu’il s’agit ici de son ouvrage le plus achevé, une poésie à la fois simple et touchante, savante et raffinée. Lire la suite
17 Mar
Né à Lanoraie, entre Lavaltrie et Berthier, sur la rive nord du Saint-Laurent, membre de l’École littéraire de Montréal, contemporain de Lozeau, Nelligan, Gill et d’autres, qui donc s’arrête aujourd’hui à cet écrivain ? Lire la suite
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